Les anciennes actualités générales peuvent être consultées dans les archives.
Les monnaies du canton du Valais à portée de clic
Le site Internet Vallesiana présente le patrimoine du Valais et le rend accessible en numérique. Parmi plus de 850 000 « objets » actuellement mis en ligne figurent également les monnaies romaines, médiévales, modernes et contemporaines.
Avec la recherche « monnaie » s’activent plus de 10 000 résultats englobant aussi bien les documents archivistiques dans lesquels apparaît le mot, que les monnaies conservées pour la plupart au Musée d’histoire du Valais, à Sion.
Pour chaque objet monétaire sont affichés l’autorité émettrice, la dénomination et le lieu de conservation.
En un simple clic sur le mot « monnaie » apparaissent ensuite des informations complémentaires telles que le numéro d’inventaire et, dans la version optimale, le lieu de découverte, l’année ou la période de frappe de même que les données techniques (matériau, poids, diamètre et axe de frappe), le tout agrémenté des illustrations avers et revers.
Avec les mots clés « monnaie » et « découverte » apparaissent 2’399 saisies de pièces se trouvant au Musée d'histoire du Valais, avec la priorité mises sur les monnaies illustrées.
Pour en savoir plus sur les conditions d’utilisation et de téléchargement des données, prière de se reporter sur la page d’accueil à l’onglet « Mentions légales ».
De la Grande Peste à la Confédération. Regards d’archéologues sur la Suisse romande 1350-1850
Dans le cadre de la publication de l’ouvrage SPM VIII, deux cours d’initiation ont eu lieu, organisés par Archéologie Suisse (Link AS). Le cours en allemand s’est déroulé le 24 avril 2021, suivi le 21 mai 2021 par le cours en français. Bien que les thèmes abordés soient restés les mêmes dans les deux langues, en référence aux chapitres de la publication, les référent-e-s des deux cours se sont intéressés à divers aspects des thématiques. Ainsi, les deux variantes linguistiques se complètent et méritent d’être visionnées successivement. Les enregistrements des deux cours sont désormais disponibles en libre accès. Les contributions concernant la numismatique ont été données par Benedikt Zäch, puis par Anne-Francine Auberson.
GSETM / SAF / GSSRM– Journées scientifiques en ligne «Digital Humanities – numismatique et disciplines annexes: concepts, questionnements et expériences», 4 juin 2021
En numismatique, et au niveau international, le champ des « Digital Humanities » et les projets de numérisation sont en plein développement. Nombreux sont les portails qui tentent d’établir des standards en vue d’homogénéiser la saisie des données provenant de différentes sources. Des concepts émergent pour construire, comme sur nomisma.org, une véritable « ontologie » du domaine numismatique. Celle-ci facilite l’exploitation par les chercheurs des importantes masses de données réunies dans les métabases coopératives.
Ces projets concernent aussi la Suisse où ils sont surtout mis en oeuvre par les musées numismatiques, les services cantonaux d’archéologie et l’Inventaire des trouvailles monétaires suisses. Simultanément, les universités développent des centres de compétences en matière de Digital Humanities et des projets liés à la recherche fondamentale – au sein ou en marge de l’ASSH – proposent leurs propres portails (comme Histhub, par exemple) pour favoriser la construction de systèmes d’informations performants et la mise en commun des données numériques. Ces journées d’étude tentent, pour la première fois, de confronter les efforts entrepris en numismatique et dans les sciences historiques afin d’encourager l’échange des concepts créés et des expériences menées dans ces disciplines-soeurs.
Quels sont les bénéfices que la recherche peut attendre de ces nouvelles ontologies et des grandes métabases internationales? Verrons-nous émerger de nouveaux thèmes de recherches ou ces systèmes d’information auront-ils pour seul effet de rendre la masse de données déjà connues plus facilement accessible? Quelles nouvelles expériences seront-elles faites lorsque les ontologies devront être développées sans établir de délimitations entre les disciplines? Quelles problématiques pouvons-nous formuler différemment qu’auparavant grâce à ces bases de données structurées? Enfin, comment définir des concepts qui ne reflètent pas seulement l’état actuel de la recherche, mais qui ouvrent aussi de nouvelles perspectives et de nouveaux champs d’étude? Telles sont les questions auxquelles nous tenterons de répondre pendant ces journées.
Tuesday 21st: Evening Reception at the National Museum Belgrade
Wednesday 22nd: Excursion to Golubac fortress, Lepenski Vir and the Tabula Traiana, transfer to Viminacium
Thursday 23rd: Viminacium – Registration, ECFN papers, site visit to the Archeological Park Viminacium
Friday 24th: Viminacium – ECFN papers
Saturday 25th: Viminacium – Nomisma.org sessions
Conférence NAS 2021 : « Archéologie expérimentale » du 17 au 18 juin 2021 à Soleure
L’archéologie expérimentale dans la recherche, l’artisanat et l’éducation est un lien entrela pratique et la théorie. Elle contribue à des nouvelles connaissances en archéologie, les rendant tangibles et vivantes. Les organisateurs de la conférence souhaitent réunir des experts des différents domaines, présenter un aperçu complet de l’état de l’archéologie expérimentale et de ses possibilités, et regarder vers l’avenir.
Nous recherchons des contributions pour les trois blocs thématiques suivants :
Recherche et analyse (présentations de 30 minutes) : Des expérimentations scientifiques en tant que contribution à la recherche et partie des évaluations archéologiques.
Artisanat (démonstrations, illustrations et, dans une mesure limitée, possibilité de démonstrations pratiques, 4–5 îlots de travail dans une salle) : Techniques artisanales préhistoriques et historiques, production de répliques et expérimentations.
Médiation (ateliers avec modération): Discussion et examen conjoint des sujets production et utilisation d’images de vie, utilisation de répliques dans la médiation et « Hands on ». Les suggestions de sujets supplémentaires sont acceptées avec plaisir.
Vous êtes invités et appelés à proposer votre contribution à la conférence ou à attirer notre attention sur des personnes qui ont des contributions intéressantes à apporter aux différents blocs thématiques. Veuillez envoyer un titre avec une brève description jusqu’au 28 février 2020 à hc.ziewhcs-eigoloeahcra@nnamreiht.nelle. Nous nous réjouissons de recevoir de nombreuses suggestions provenant d'un large éventail d'époques et de domaines. Les organisateurs décideront de l'inclusion dans le programme d'ici juin 2020.
Workshop « Digital Humanities – numismatique et disciplines voisines : concepts, questionnements et expériences »
4 juin 2021, online
En numismatique, et au niveau international, le champ des « Digital Humanities » et les projets de numérisation sont en plein développement. Nombreux sont les portails qui tentent d’établir des standards en vue d’homogénéiser la saisie des données provenant de différentes sources. Des concepts émergent pour construire, comme sur nomisma.org, une véritable « ontologie » du domaine numismatique. Celle-ci facilite l’exploitation par les chercheurs des importantes masses de données réunies dans les métabases coopératives.
Ces projets concernent aussi la Suisse où ils sont surtout mis en œuvre par les musées numismatiques, les services cantonaux d’archéologie et l’Inventaire des trouvailles monétaires suisses. Simultanément, les universités développent des centres de compétences en matière de Digital Humanities et des projets liés à la recherche fondamentale – au sein ou en marge de l’ASSH – proposent leurs propres portails (comme Histhub, par exemple) pour favoriser la construction de systèmes d’informations performants et la mise en commun des données numériques. Ces journées d’étude tentent, pour la première fois, de confronter les efforts entrepris en numismatique et dans les sciences historiques afin d’encourager l’échange des concepts créés et des expériences menées dans ces disciplines-sœurs.
Quels sont les bénéfices que la recherche peut attendre de ces nouvelles ontologies et des grandes métabases internationales ? Verrons-nous émerger de nouveaux thèmes de recherches ou ces systèmes d’information auront-ils pour seul effet de rendre la masse de données déjà connues plus facilement accessible ? Quelles nouvelles expériences seront-elles faites lorsque les ontologies devront être développées sans établir de délimitations entre les disciplines? Quelles problématiques pouvons-nous formuler différemment qu’auparavant grâce à ces bases de données structurées ? Enfin, comment définir des concepts qui ne reflètent pas seulement l’état actuel de la recherche, mais qui ouvrent aussi de nouvelles perspectives et de nouveaux champs d’étude ? Telles sont les questions auxquelles nous tenterons de répondre pendant ces journées.